Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Pas d'élections régionales dans le Nord/Pas de Calais, faute de moyens financiers

29/01/2010 08:37

Pas d'élections régionales dans le Nord/Pas de Calais, faute de moyens financiers


Pas de campagne DLR pour notre région !

La campagne pour les élections régionales en Ile-de-France bat son plein. Nicolas Dupont-Aignan a présenté dimanche dernier nos candidats. Un nouveau site a également été mis en ligne (http://www.nda-iledefrance.fr) et les militants arpentent les villes et les campagnes franciliennes pour distribuer nos tracts et coller nos affiches. 

Debout la République n’était pas hélas en mesure, pour des raisons financières, de présenter des listes dans les 22 régions métropolitaines, aussi s’est-il concentré, principalement, sur la région île de France, où nous sommes déjà bien implantés et vers laquelle se tourneront bien des regards au soir de l’échéance. Nous espérons pouvoir peser sur le débat contre l’UMP et le PS ainsi que leurs partis godillots. Avec le temps, DLR rayonnera sur toutes les régions de France et s’affirmera comme une force alternative crédible. Rendez – vous est déjà pris dans le Pas de Calais pour les futures cantonales de 2011. 



Commentaire de cimares (01/02/2010 14:57) :

Pour le Nord Pas de Calais, que préconisez vous ? a qui pouvons nous faire confiance ?


Commentaire de DLR1(Canal Historique) (02/02/2010 05:28) :

Cher Cimarés, je ne préconise rien d'autre pour le moment que DLR. Il se pourrait qu'il y ait des surprises. En tous cas nous ne cautionons ni le FN, ni l'UMP,et encore moins le PS qui agit dans cette région comme les seigneurs de jadis agissaient sur leur fief.





Agriculture : l’Etat démissionnaire

29/01/2010 08:03

Agriculture : l’Etat démissionnaire


J’ai visité lundi dernier une exploitation agricole en Seine et Marne. 440 hectares, faisant vivre trois familles qui ont mutualisé leur matériel pour plus d’efficacité.
L’exploitant, membre de la Coordination rurale, m’a exposé l’un des problèmes majeurs de l’agriculture française : l’absence d’une vraie capacité d’expertise indépendante pour vérifier et promouvoir les bonnes pratiques agricoles.
Par exemple, il m’a relaté comment il a tâtonné pendant des années pour trouver le bon dosage d’engrais à l’hectare, le fabriquant, bien sûr, indiquant dans la notice une dose dix fois supérieure à ce qui se révèle finalement nécessaire.
Une fois le produit mis sur le marché, muni de toutes les autorisations en bonne et due forme, ce sont des millions d’euros qui partent en fumée sauf pour quelques grandes entreprises qui, bien sûr, poussent à la consommation. Sous forme de boutade, l’exploitant m’a dit : « C’est comme si le pharmacien était aussi le médecin ». S’il en était ainsi, il va de soi que les prescriptions de médicaments s’envoleraient.
Mais à quoi sert le Ministère de l’Agriculture, à quoi servent les Chambres d’Agriculture ? Les quelques experts qu’elles dépêchent sur le terrain sont trop vite rapatriés dans leur bureau.
Le jour où une expertise indépendante et aisément accessible en matière agronomique sera assurée, alors on pourra parler de vrai Grenelle de l’Environnement. On est très fort pour demander l’installation de panneaux solaires sur le toit de la grange ou de planter une éolienne au milieu du champ, cela fait écolo ! En revanche on tâtonne toujours pour doser correctement les produits chimiques dans les sols.
Tout à coup, alors que j’étais sur le départ, il me dit : « J’oubliais, ils viennent de sortir une semence entourée d’un insecticide qui nous a tous rendu malade dans le secteur. On s’est renseigné et les symptômes sont apparus dans toute la France. Pourtant ce nouveau produit est autorisé par le ministère ».
Il y a de quoi frémir quand on sait que les médecins leur ont demandé de ne plus toucher cette semence et que le fabriquant a même recommandé un masque pour le manipuler. L’enquête suit son cours. Là aussi, silence radio du ministère de l’Agriculture.
En rejoignant une autre exploitation, à travers ces magnifiques paysages de Seine-et-Marne, où l’on peut voir ces vieilles fermes fortifiées des environs de Provins, je me disais tout simplement que c’est l’Etat qui a disparu, débordé par ces multinationales, par un progrès technologique qui avance plus vite que les chefs de bureaux, par ces intérêts qui achètent la bureaucratie de Bruxelles ou de Paris.
Oui, de tout temps il y a eu des combines, mais jusqu’à une période récente l’Etat jouait son rôle, celui de faire prévaloir l’intérêt général, la santé publique. Curieux pays qui a autant de fonctionnaires et de dépenses publiques par habitant mais qui semble incapable de se faire respecter par Bayer ou Monsanto ! Ce n’est pas une question d’argent, c’est une question de volonté et d’organisation. A cet égard, serait-il si extraordinaire que la Région apporte son aide à ses agriculteurs, pour aider à la réorganisation des filières, pour encourager certaines productions, pour apporter une expertise qui fait défaut ? Ce n’est, semble-t-il, pas la préoccupation de M. Huchon ni de Mme Pécresse. Mais, me diront-ils sans doute : « La Seine-et-Marne est si loin… »
NDA






Dernière minute

28/01/2010 08:23

Dernière minute


Dominique de Villepin vient d'être relaxé de tous les chefs d'inculpation qui lui étaient attribués. Un nouveau coup dur pour l'hyper président qui voulait le voir pendu à un croc de boucher.

PW






Mélenchon fait sa révolution

27/01/2010 14:58

Mélenchon fait sa révolution


L’amour de la Patrie républicaine au centre
par David Desgouilles
Il faudrait élever une statue à David Abiker. Son émission, une des seules où on laisse l’invité s’exprimer mais où on revient ensuite à la charge lorsqu’il n’a pas répondu, permet de grands moments. Diffusée le samedi matin à la radio sur France-info, les plus pressés peuvent la voir dès le vendredi soir en vidéo sur la chaîne Dailymotion de la station. Et, hier soir, on a pu assister à une formidable prestation de Jean-Luc Mélenchon.
J’aime bien Mélenchon. Surtout depuis qu’il avait été l’un des plus talentueux avocats du Non au référendum sur la constitution européenne. Sur l’analyse de la mondialisation, sur la complicité des institutions européennes, je partage ses convictions. Il est aussi, chose rare, l’un des seuls hommes politiques à avoir avoué sans fard s’être trompé sur Maastricht. Il avait cru sincèrement que l’Europe fédérale pouvait être un levier pour la justice sociale, que l’universalisme français pouvait imprégner l’Europe toute entière. Se sentant floué et coupable, il s’est avéré d’autant plus efficace depuis 2005 pour démonter la supercherie. Sur l’Ecole aussi, il a su, souvenons-nous, remettre en cause les dogmes de la gauche officielle en remettant en cause le collège unique.
Mais il y avait quelque chose qui me gênait chez lui. Je lui ai même écrit un jour. C’était son sectarisme, à moins que cela n’ait été une volonté tactique de se montrer davantage sectaire qu’il ne l’était pour fixer, grâce à une image, un électorat radical. Ainsi, avons-nous pu avoir l’impression qu’il se boucherait le nez en voyant des “hommes de droite” lui donner raison, ce qui n’est guère agréable. Mais hier soir, cette impression s’est fort bien dissipée.
D’abord, il a qualifié la rubrique internationale du Figaro de “meilleure de tout le pays” ce qui peut paraître anodin mais qui est loin de l’être. Le journal de Dassault fut couronné, pour une part, alors que les chaînes du service public, Madame Chabot mais surtout les antennes régionales de France 3, ont été, lors de la même émission, rhabillés pour les trois prochains hivers ! Nous avons changé d’époque ; non seulement Mélenchon s’en est aperçu mais il ne l’envoie pas dire.
Ensuite et surtout, il a eu, pour la première fois, des mots plutôt élogieux en direction de Nicolas Dupont-Aignan. Alors que c’était le moment pour David Abiker de relayer des questions d’internautes, l’un de ces derniers lui demandait de qui, entre le président de Debout la République et Dominique Strauss-Kahn, il se sentait le plus proche. Après avoir tenté d’esquiver et alors que David Abiker insistait, il eut ses mots, rafraîchissants entre tous :Pour parler de la République et de l’amour de notre Patrie Républicaine, (je suis) plus proche de Dupont-Aignan que de Strauss-Kahn qui a une notion de la Patrie très relative surtout depuis qu’il est directeur du FMI et que son rôle consiste à affamer les peuples”. 1
Il ne faut pas se le cacher, pour Mélenchon, c’est une révolution. Non seulement, beaucoup de ses militants ne comprendront pas cette phrase et certains, même, lui reprocheront amèrement. Mais en avouant une plus grande proximité avec un homme classé à droite sur les bases de l’amour de la Patrie Républicaine, il change de statut. Il se place en Homme de la Nation, un peu comme Jean-Pierre Chevènement en septembre 2001. A petits pas, certes, mais sûrement. Même si on faisait abstraction de la réponse à cette question en fin d’émission, Mélenchon donnait hier soir cette impression de dépasser largement cuisine électorale, carrière et contingences partisanes, et de se consacrer à l’Essentiel. Ainsi, on le croit sincère lorsqu’il ne se dit pas déçu de laisser à un autre le soin de mener la liste francilienne aux élections régionales alors qu’il était candidat à cette mission. Il est au dessus de tout cela. Ce qui l’intéresse désormais, c’est de servir non un parti mais sa Patrie, terme qu’il a utilisé plusieurs fois. Il pense sans doute à l’élection présidentielle. Mais s’il y va, ce sera pour la gagner, pas pour témoigner.





1 BD poignante : GAZA 1956

26/01/2010 16:35

1 BD poignante : GAZA 1956


Gaza 1956, en marge de l’histoire, 

Joe Sacco, traduit de l’anglais par Sidonie Van der Dries, 

Edition :  Futuropolis, 

Label : Galisol 

Edité le 07/01/2007 

ISBN : 2754802525 

424 page 

27 euros. 

Dans « Gaza 1956, en marge de l’Histoire », Joe Sacco mène l’enquête sur le massacre de Palestiniens à Rafah et à Khan Younès durant la guerre de Suez. 

À peine une note de bas de page. Les 3 et 12 novembre 1956, des centaines de Palestiniens furent massacrés dans la Bande de Gaza par des soldats israéliens. Qui s’en souvient, qui s’y intéresse ? Qui même le sait ? Le journaliste et dessinateur Joe Sacco. Lui va sauver in extremis ces morts des oubliettes, va gratter la mémoire, chercher les survivants. Subir l’ironie, l’incompréhension. Pourquoi 1956 et pas aujourd’hui, pourquoi ces victimes et pas d’autres ?, lui demandent certains Gazaouites, et s’interroge au début le lecteur. Ce ne sont pas les drames, les guerres, les exécutions qui manquent à Gaza. Conjugués à tous les temps du passé, et toujours au présent. « Ton travail n’entre pas dans la catégorie du journalisme en temps réel », lui assène un fonctionnaire israélien. Accréditation refusée, débrouille-toi comme tu peux. Joe Sacco fait bien mieux. Non seulement il reconstitue avec précision ce 3 novembre 1956 à Khan Younès, ce 12 novembre de la même année à Rafah, mais il raconte le déroulement de l’enquête menée entre 2002 et 2003. Rencontres, check-point, amitiés, destructions, fou rire ou impuissance… Tout y est. La bande dessinée Gaza 1956, en marge de l’Histoire est le portrait le plus saisissant de ce territoire palestinien, immense prison à ciel ouvert, mille-feuilles sanglant. 

Joe Sacco est un entêté. La Palestine , il y avait consacré deux tomes dans les années 1990 : le premier pour la Cisjordanie , le second (déjà) pour Gaza. Après un détour en ex-Yougoslavie, le dessinateur américano-maltais y revient, presque par accident. Envoyé comme illustrateur à Khan Younès pour le magazine Harper’s, il se souvient d’un massacre commis là, simple citation dans un rapport de l’ONU, lui-même brièvement évoqué par l’essayiste Noam Chomsky. Il convainc le journaliste rédacteur d’en faire mention. Mais, « pour une raison inconnue, ces paragraphes ont été coupés par les éditeurs du magazine », explique-t-il. Qu’à cela ne tienne, Joe Sacco décide d’y consacrer des mois de travail. Et les quelques lignes vite évacuées de se transformer en 400 planches passionnantes. Entêté donc, culotté aussi. Écrite en juillet 2009, alors qu’États-Unis et Union européenne maintiennent le blocus de l’islamiste Gaza, la préface met en avant un témoignage : celui d’Abed El Aziz El-Rantisi, leader du Hamas. « El-Rantisi, âgé de 9 ans à l’époque, nous a confié que son oncle avait été tué ce jour-là. “J’entends encore les gémissements de mon père, je revois les larmes qu’il a versées sur son frère, nous a-t-il dit. Je n’en ai pas dormi pendant des mois… Cet épisode a laissé dans mon cœur une plaie qui ne pourra jamais cicatriser. Le seul fait de vous raconter cette histoire me donne envie de pleurer. On n’oublie jamais des actes pareils… [Ils] ont planté la haine au fond de nos cœurs”. » El-Rantisi est mort à Gaza en avril 2004, victime d’un assassinat ciblé. 

Sacco n’occulte rien. Quand il dessine Gaza, elle se tient devant nous, surpeuplée, laide, pauvre. On en sent presque l’odeur, cette odeur de la Bande , des égouts à ciel ouvert. Quand il dessine les Palestiniens, il n’omet pas les yeux haineux, les cris de rage, les larmes aux paupières. Ni même sa propre exaspération. Car le journaliste se heurte à des témoins récalcitrants, que tout le talent d’Abed, traducteur et ami, échoue parfois à se concilier. Grand-mère à la mémoire défaillante qui emmêle ses morts – il y en a tant eu en quelques décennies. Vieux feddayin redoutable qui tourne autour du pot, d’escarmouches en opérations, mène la danse, conscient d’être le seul à posséder certaines informations, soucieux de son anonymat. Sacco se met en scène, se montre pris au piège des digressions, et en use parfois pour ficeler son récit. Face aux questions sur 1956, l’oncle d’Abed s’agace : « Et 1967 ? Et Sabra et Chatila ? Et le Congrès sioniste de Bâle en 1897 ? Et 1948 ? » « D’accord, d’accord ! Je finis par me rendre… Et comme il faut bien commencer quelque part », admet en voix off Joe Sacco, le récit montre l’arrivée des réfugiés palestiniens dans la zone quasi désertique de Gaza. 

Toutes les strates du passé, toutes les nuances du présent, se lient peu à peu. La cohérence ne perd rien, elle y gagne au contraire en dévoilant les nœuds, les filiations. Deux portraits d’homme se suivent dans une planche. Très âgé, portant turban, le vieux fut un feddayin de la première heure, guérillero en 1948, militaire sous commandement égyptien, personnage inquiétant à la tête de gars mi-résistants mi-bandits. Épuisé, la quarantaine, Khaled est un « mutarad », un recherché, en planque perpétuelle, militant armé du Fatah pendant la première Intifada. Le premier est un témoin de 1956, le second a été rencontré par hasard au cours de l’enquête, les deux seront personnages récurrents. Mais tous, même croisés au détour d’une case, auront leur mot à dire. C’est Abed et son ami Hani qui ont été blessés par balles, adolescents lors de la première Intifada. Ce sont les cinq enfants à la maison tout juste rasée qui portaient déjà les cicatrices de la seconde Intifada. À Gaza, tous ont leurs plaies. Aucun n’a le « luxe », selon le mot de Sacco, de les panser avant qu’une autre ne s’ouvre. 

Les massacres de 1956 ne sont qu’une de ces plaies parmi des centaines ­d’autres. L’enquête de Joe Sacco ne le cache pas, mais sa quête n’en est pas pour autant dérisoire. Au contraire. Recueillir des dizaines de témoignages, les organiser, les recouper, écarter les moins sûrs, ne rien cacher des incohérences, reconstituer en conversant entre amis, à coup de thé et de gâteaux au miel, le lent déroulement d’un massacre… Tout ce travail minutieux met au jour une mémoire à vif, bouleversante, et une vérité. Les visages et les noms des témoins, les souvenirs dessinés par Sacco s’arment contre les notes de l’histoire, contre le ­simple constat de l’ONU : « Des désaccords existent quant au décompte des victimes et à la cause de leur mort. » Plus de 400 ont crevé pour une telle épitaphe, et combien d’autres resteront ensevelis. C’est cet enquêteur pointilleux, recoupant ses sources, bousculant parfois ses interlocuteurs, qui installe la confiance. C’est lui aussi qui, pourtant, doute. Joe Sacco se dessine en un face-à-face : les traits tirés, il scrute Abu Junish, un grand-père que son petit-fils interroge. Le pire souvenir de cette journée ? Pas un coup, pas un mort, non, une émotion. « La peur, répète le vieillard. La peur. » Entre le journaliste et le survivant, un court texte : « Soudain, j’ai eu honte de moi, honte d’être passé à côté de quelque chose en recueillant mes preuves ; en les démêlant, les disséquant, les indexant pour les classer dans les tableaux. » De la honte alors ressentie est née une bande dessinée qui entièrement l’annihile. 

Reconnu par les journalistes comme par les auteurs de bande dessinée pour son professionnalisme et sa rigueur, Joe Sacco revient avec un nouveau livre événement de plus de 400 pages sur une authentique tragédie Palestinienne oubliée de l’histoire.
Quinze ans après la publication de son premier livre, Palestine une nation occupée, Joe Sacco retourne dans la bande de Gaza pour enquêter sur un massacre de la population palestinienne par l’armée israélienne en 1956






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